samedi 28 juillet 2012



LUI

Ce n’est ça qu’il veut, par pitié , plus jamais . Leur malaise le glace un peu plus, l’éloigne de ce qu’il cherche du fond de son désespoir.  La  peur abyssale des pupilles qui se  dilatent ,  plus jamais !!!
Evvie  ressent davantage la nuance, on dirait .Elle semblait même attirée   , un sentiment confus qu’il ne reconnait plus .Une douceur dont il ne se rappelle plus le pourquoi .
Je dois la rassurer , lui transmettre quelques parcelles du feu  bienfaisant sous la glace de mes yeux fous , comment ?  Agir sur ce monde qui l’a rejeté voici quatre siècles, lui , l’abominable , l’imbécile , le mouton grimé en loup dans la  mascarade grossière de cette nuit du mois d'Août 1572

 

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